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La VÉRITÉ à L'ENDROIT - Page 4

  • A PROPOS DE L'ESPRIT DE VÉRITÉ....(suite)

    Quand il sera venu, lui , l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité ; car ses paroles ne viendront pas de Lui-même, mais il parlera de tout ce qu’il aura entendu et vous annoncera ce qui viendra. Jean 16.13

    La raison est sous l’autorité de l’arbre de la connaissance du bien et du mal alors que le cœur est sous l’autorité de l’arbre de vie. La raison est animée par le désir de savoir, de comprendre et de faire pour prouver, le cœur est animé par le désir d’être et donc de se laisser façonner.

    Accueillir le Souffle Divin suppose donc que je le laisse me conduire dans cette vérité que lui seul peut révéler en moi. Cela n’est possible que, si, conformément aux enseignements de Jésus, j’accepte de renoncer à moi-même. Autrement dit que je renonce à laisser ma raison me dominer pour laisser à mon cœur le soin de distiller en moi cette vérité, inaccessible à la raison, mais tellement nécessaire à la transformation de gloire en gloire de mon être intérieur.

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  • A PROPOS DE L’ESPRIT DE VÉRITÉ…..

    « Quand sera venu le consolateur que je vous enverrai de la part du Père, l’Esprit de vérité qui provient du Père, il rendra témoignage de moi. Et vous aussi vous me rendrez témoignage, parce que vous êtes avec moi depuis le commencement. » Jean 15. 26 et 27

    « Quand viendra le défenseur que je vous enverrai donc d’auprès du Père, le Souffle de vérité qui vient d’auprès du Père celui-là témoignera à mon sujet et vous vous êtes témoins, parce que depuis le commencement vous êtes avec moi. » Jean 15. 26 et 27

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  • A propos du salut ! (suite et fin)

    Comme il était encore loin, son Père le vit  et fut touché de compassion, il courut se jeter à son cou et l’embrassa.

    Le fils lui dit : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi, je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.

     

    Mais le Père dit à ses serviteurs : apportez vite la plus belle robe et mettez-la-lui ; mettez-lui une bague au doigt, et des sandales pour ses pieds. Amenez  le veau gras et tuez- le. Mangeons et réjouissons-nous ; car mon fils que voici était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé. Et ils commencèrent à se réjouir. LUC 15.21 à 23

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  • A propos du salut ! (suite)

    LUC 15.11 à 32

    Ce qui doit nous interpeller dans cette parabole c’est avant tout la manière de penser de ceux  qu’elle met en scène. Nous ne manquons pas d’observer des similitudes au niveau des pensées, bien que ces similitudes aient des effets diamétralement opposés, nous le verrons dans la suite.

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